Comment la DRFIP PARIS peut-elle encore organiser des stages de formation dans les sous sol de la rue de Londres ?
Les salles qui y ont été installées sont dépourvues de fenêtres et de climatisation.
Nous étions une quinzaine, il faisait 24° ce matin là en début de stage et 27° deux heures plus tard, thermomètre à l’appui.
La chaleur presque suffocante et la saturation de l’air non renouvelé ont provoqué fatigue, maux de tête et mal être général.
Comment les responsables de l’immobilier de la rue de Londres ont-ils pu valider l’accès à ces salles?
Comment ont-ils pu oublier que tous les être vivants ont besoin d’oxygène? Les formateurs et les stagiaires ne seraient pas des femmes et des hommes comme les autres?