- Formation professionnelle: bilan d’activité 2013 et plan de formation 2014
- Fusion des deux IFU du SIE 11ème Sainte Marguerite
- Fusion des deux services de contrôle de la redevance audiovisuelle (SCRA)
- Déménagement de la Trésorerie amende 1 du site Bédier sur celui de Belleville
- Prise en charge par le PRS Sud-Ouest des créances issues du traitement des dossiers de régularisation d’avoirs à l’étranger non déclarés
Le CTL était présidé par M. Halbique, responsable du pôle pilotage et ressource.
Après l’ouverture du CTL, les élu-es CGT Finances Publiques ont lu une déclaration liminaire.
Bilan d’activité 2013 de la formation professionnelle et plan de formation 2014
Le service de la formation professionnelle est composé de 26 agents divisé en deux services : formation et préparation aux concours. La CGT a déploré la suppression de 2 postes (1 cadre A, 1 cadre B) au mois de septembre 2014. Le service a disposé en 2013 de 358 formateurs et 34 animateurs. La responsable du service a rappelé que la formation était en permanence à la recherche de formateurs. A ce sujet, la CGT a renouvelé ses exigences : une rémunération par le haut pour tous les formateurs quel que soit le grade des stagiaires et une prise en compte de facilités de service pour les formateurs qui doivent accomplir un important travail de préparation. Comme à son habitude l’administration a refusé nos demandes. La CGT a également pointé que si ses exigences ne rencontraient pas d’écho favorable, et au vu du nombre important de suppressions d’emplois, le nombre de volontaires risquait de s’en trouver impacté.
La CGT a demandé à la direction d’indiquer ce que la formation professionnelle représentait en équivalent temps pleins, formateurs et stagiaires confondus, afin de relancer la DG sur le problème des effectifs.
Sur le même sujet, la CGT a demandé la prise en compte du temps passé par les tuteurs à former les stagiaires et les collègues. La direction s’est contentée de répondre que ce temps n’était pas quantifiable.
La formation dispose de 17 salles de formation et de 4 salles de réunion reparties sur 5 sites. En 2016, la fermeture du site de Belleville va entraîner la disparition de 256 places. La CGT a interpellé la direction à ce sujet, cette dernière s’est contentée de répondre qu’une réflexion était en cours. A part pousser les murs on peut se demander à quoi réfléchit l’administration !
La CGT a dénoncé le blocage, pour cause de sous-effectif, par certains chefs de service de demandes de stages des agents. La CGT a donc demandé que les agents puissent s’inscrire directement auprès de la formation professionnelle et que, s’il y a refus, celui-ci soit motivé par écrit par le chef de service. La direction n’a pas accédé à cette demande.
La CGT a déploré la qualité du stage sur la déontologie, qui était plus orienté sur les obligations que sur les droits des agents. L’administration a reconnu que certains formateurs n’avaient pas respecté le bon déroulé du stage prévu par la DG.
La CGT a rappelé son opposition à l’e-formation qui ne saurait remplacer la formation présentielle. La CGT a pointé les dysfonctionnements de l’e-formation : impossibilité de revenir consulter le stage une fois celui-ci terminé, impossibilité de poser des questions, stagiaires considérés comme formés même s’ils n’ont réalisé que 50% de la formation. Face à ces remarques, la direction a répondu par un silence assourdissant. La CGT soutient la demande de formation présentielle pour les caissiers à la place de l’e-formation prévue.
La CGT s’est insurgée contre le fait que la préparation aux concours soit payante. Ce coût est exorbitant puisqu’un agent doit en effet débourser 20€ pour une e-préparation et 80€ pour les fascicules papier !
La CGT s’est indignée de l’inadéquation entre les besoins des agents et les offres de formation notamment ALTO II et Chorus. La direction a justifié la mise en place tardive d’ALTO II par le fait que le bilan 2013 des entreprises ne serait vérifié, au mieux, qu’à partir de 2015. En outre, la CGT a demandé que ce stage soit également destiné aux PCE.
La CGT a interrogé la direction sur le devenir des stages paie et pension. En ce qui concerne le service de la paie, les stages dont les modules ont été créés par Paris sont prévus en 2014. Par contre, en ce qui concerne le service des pensions rien n’est programmé.
Dans le cadre de la suppression de la double formalité de l’enregistrement de certains actes, la CGT a eu confirmation que des sessions de 2 jours vont être mises en place au mois de juin à destination des collègues des SPF (ex-hypothèques)
La CGT a réitéré son refus de voir les stagiaires issus de l’ENFIP « utilisés » comme de simples bouche-trous pour pallier les vacances de postes. Enfin, la CGT a souligné la forte implication de l’ensemble de l’équipe de formation professionnelle et l’investissement des formateurs.
Vote sur le bilan 2013 :
Contre : 8 (CGT, Solidaires) ; Abstention : 1 (CFDT) ; Ne prend pas part au vote : 1 (FO) Vote sur le plan de formation 2014 :
Contre : 10 (CGT, Solidaires, FO, CFDT)
Fusion des deux IFU du SIE 11ème Sainte Marguerite
La direction a argumenté la fusion des IFU de ce SIE sur la base d’une plus grande facilité de gestion. Le passage de deux codes SAGES à un seul permettra une meilleure redistribution des dossiers entre les contrôleurs. Nous avons précisé que, si nous ne contestions pas factuellement cet argument, nous tenions à le replacer dans le contexte de la démarche stratégique. En effet, la souplesse de redistribution des dossiers correspond à une mise en adéquation plus facile, « au fil de l’eau », de l’organisation du service aux suppressions d’emplois ainsi qu’aux absences diverses non compensées.
Lorsque nous avons dénoncé le sous-effectif chronique au sien de ce SIE, la direction s’est bornée à le justifier sur la base d’une répartition « mathématique » du ratio charge/emplois entre tous les services de la direction. Aucune dénonciation de sa part du principe même des suppressions d’emplois.
Elle a réaffirmé que la démarche stratégique prévoyait une organisation du travail basée sur la priorisation des tâches et le développement des concentrations de services. Cela n’est pas acceptable. La CGT exige des moyens et des emplois pour accomplir l’ensemble de nos missions dans de bonnes conditions de travail.
La fusion des IFU, au regard de l’orientation prônée par la démarche stratégique et des plans successifs de suppressions d’emplois, vise donc bien à de futures fusions d’un maximum de SIE afin d’amplifier la polyvalence au sein de ces structures. C’est pourquoi nous avons voté contre ce point à l’ordre du jour.
Vote :
Contre : 5 (CGT, FO) ; Ne prend pas part au vote : 1 (Solidaires, CFDT)
Fusion des deux services de contrôle de la redevance audiovisuelle (SCRA)
- Question de la CGT Finances Publiques Paris :
Vous annoncez l’arrivée d’un cadre A. Cet emploi sera-t-il pérenne ? Quelle formation professionnelle va-t-il recevoir ?
- Réponse de la direction :
Après avoir rappelé que les services de direction du pôle Centre dont dépend le SCRA vont subir 11 suppressions d’emplois de cadres A, la direction a indiqué qu’elle s’attacherait à ce qu’un cadre A soit affecté.
La direction va voir si l’inspecteur arrivant au 1er mai pourra bénéficier d’une formation en se rapprochant d’un des SCRA de la région.
La CGT sera attentive à ce qu’un cadre A soit effectivement présent dans ce service pour des raisons évidentes de bon fonctionnement notamment en terme de suivi des procédures.
- Question de la CGT Finances Publiques Paris :
Cette fusion ne doit pas affecter les conditions de travail des collègues. En particulier, ils veulent conserver leur champ géographique actuel.
- Réponse de la direction :
C’est le cadre A qui assurera le pilotage de ce service mais la direction a précisé qu’elle n’imposerait de changement de la répartition géographique.
Pour la CGT, la faiblesse des effectifs ne doit pas être l’occasion de remettre en cause les conditions de travail.
- Question de la CGT Finances Publiques Paris :
Sur le plan immobilier, pouvez-vous nous confirmer que ce service sera, à terme, implanté à Saint-Sulpice ?
- Réponse de la direction :
Ce service a vocation à être installé à Saint Sulpice mais la date n’a pas été précisée, cela dépend de la fin des travaux sur ce site.
Compte tenu des conditions dans lesquelles cette fusion qui intervient une fois de plus après des suppressions d’emplois drastiques dans ces services, la CGT a voté contre.
Vote :
Contre : 9 (CGT, Solidaires, FO) ; Ne prend pas part au vote : 1 (CFDT)
Déménagement de la Trésorerie amende 1 su site Bédier sur celui de Belleville
La CGT était intervenue à maintes reprises sur de nécessaires mesures à prendre en termes de sécurité pour les agents de ce site recouvrant des amendes judiciaires avec réception d’un public parfois « difficile ».
Il aura fallu attendre que soit murée à deux reprises l’entrée, avec taggs « anti-fiscaux », pour que la direction se décide à réagir en déménageant, en urgence, ce service de la rue Bédier 13ème sur le site de Belleville 20ème, d’avantage sécurisé. Nous avons donc dénoncé la prise en compte tardive de nos alertes, tout en actant positivement la décision de la direction.
Ce déménagement précipité a posé le problème du respect de l’affectation à la Résidence Administrative Nationale (RAN) 13ème arrondissement pour les deux agents qui ne souhaitaient pas suivre la mission à Belliville 20ème arrondissement. Alors que la direction indiquait dans un premier temps qu’aucun agent ne souhaitait rester dans le 13ème, nous nous sommes inscrits en faux, écrits à l’appui, pour ces deux collègues. La CGT a exigé le respect du souhait de ces agents et des nouvelles règles de gestion. Ils sont affectés à la RAN 13ème et doivent donc rester sur cet arrondissement. La direction a été obligée de se rendre à nos arguments, les agents iront dans les services de Tolbiac dès le déménagement, début avril.
L’équipe arrivée sur Belleville se retrouve donc, parce que la direction n’a effectué ce déménagement que trop tardivement et en urgence, avec deux agents en moins. Nous avons donc exigé que ces deux postes ne restent pas vacants. La direction va voir « ce qu’elle peut faire » pour résoudre cette situation. Des échelons de renfort devraient arriver dans ce service quand il aura déménagé à Belleville. A suivre …
A Belleville, la trésorerie amendes 1, qui traite des amendes judiciaires, occupera seule un étage. A terme, ce service déménagera à Paganini. La CGT a demandé qu’il n’y ait pas de caisse commune avec un autre poste comptable. La direction a répondu qu’il y aura une « sphère amendes » avec un seul accueil et une caisse unique pour les trésoreries amendes 1 et 2.
Pour la CGT cela n’est pas acceptable compte tenu du public difficile que reçoit la trésorerie amendes 1.
Ce point étant pour information, il n’y a pas eu de vote.
Prise en charge par le PRS Sud-Ouest des créances issues du traitement des dossiers de régularisation d’avoirs à l’étranger non déclarés
Tout en annonçant le renforcement de la lutte contre la fraude fiscale et l’alourdissement des sanctions encourues, le gouvernement a lancé, le 21 juin 2013, un appel aux évadés fiscaux à se mettre au plus vite en conformité avec la loi en régularisant leurs avoirs à l’étranger.
Les personnes rectifiant spontanément leur situation fiscale passée devront payer l’ensemble des impositions éludées et non prescrites, ainsi que les intérêts de retard. Mais, les majorations des impôts, pour manquement délibéré, fixées par la loi à 40% des droits supplémentaires et les amendes pour manquement déclaratif seront allégés , dans le cadre d’une transaction, selon un barème précis.
Autrement dit, le durcissement annoncé de la lutte contre la fraude fiscale s’accompagne paradoxalement d’un offre alléchante de régularisation amiable à destination des évadés fiscaux.
Le dispositif mis en place prévoit le traitement centralisé et homogène des demandes par la DNVSF, à cet effet, il a été créé, en son sein, le STDR (service de traitement des déclarations de régularisation). En outre, le recouvrement des droits et pénalités relatifs à ces régularisations a été confié au PRS Paris Sud-Ouest, en étendant son périmètre de compétence qui incluait déjà le recouvrement des droits relatifs aux contrôles effectués par la DNVSF.
Mais cette décision de concentration à outrance, excluant les services locaux de contrôle et de recouvrement, pouvait, au moins, laisser espérer une meilleure approche des moyens supplémentaires nécessaires que ça soit à la DNVSF ou au PRS Paris Sud-Ouest, tout au moins une meilleure adaptation de la Direction Générale à l’évolution de la situation. Force est de constater que ce n’est pas du tout le cas !!!!
En ce qui concerne, plus particulièrement, le PRS de Paris Sud Ouest devant supporter cette nouvelle tâche de recouvrement, lors de ce CTL où ce point a été mis à l’ordre du jour suite à la demande de la CGT, il a été posé des questions très précises sur l’organisation mise en place et les moyens mis à disposition du PRS pour absorber cette charge supplémentaire.
Les réponses ont été plus qu’imprécises, pire certaines apparaissant simplement inapplicables !!! Il est vrai que pour faciliter la présentation de ce point par la DRFiP, par M.CELANTE, AFIP au pôle Sud-Ouest, la présence d’un représentant de la DNVSF aurait permis de clarifier certains points, notamment sur ce qui était fait exactement au STDR et donc les conséquences sur le PRS Sud ouest mais aussi sur les services de contrôle parisiens.
L’évaluation de la charge de travail supplémentaire pour le PRS ?
Le principal problème semble être que l’évaluation des moyens nécessaires est bien difficile que ce soit pour le STDR ou pour le PRS parisien: le dispositif de régularisation à l’amiable annoncé le 21 juin 2013 ne prévoyant pas de date de fin !!
Selon les informations données lors d’un CHS-CT, au 28/02, il y a eu environ 16 000 lettres d’intention de régularisation reçues, tout en sachant qu’un même contribuable peut envoyer plusieurs lettres. 3 036 dossiers sont désormais complets au STDR et 270 dossiers de recouvrement ont été transmis au PRS.
Tous les paiements effectués avec les déclarations de régularisation sont déposés sur un compte d’attente ouvert au PRS.
Lorsque le dossier est complet au STDR, celui-ci établit des fiches 3950 de demande de recouvrement et les transmet au PRS pour enregistrement dans MEDOC et sortie des AMR. Le choix a été fait par la DG de ne pas mettre en recouvrement, par voie de rôle, les impositions des particuliers. La Direction a annoncé que la saisie dans MEDOC ne vient que de commencer, le 18/03 et que le PRS a eu des renforts en personnel: aucune précision sur le nombre exact et la durée de leur mission? Actuellement, selon la Direction, deux personnes sont affectées à la saisie de ces 3950.
Dans les faits, c’est le personnel affecté au service « recouvrement DNVSF » qui assure ces saisies de 3950 en effectuant une rotation entre eux afin qu’il y ait deux personnes par semaine qui assurent ce travail, mais ils n’ont pas obtenu de décharge de leurs autres missions qu’ils avaient par ailleurs. Le PRS n’a obtenu que 2 renforts au 01/01/2014, mais les collègues renforcent une autre division. Un autre renfort est arrivé au 01/03 et a remplacé une personne qui a été affectée au service de recouvrement de la DNVSF.
Qui va prendre en charge les autres tâches des collègues ?
La Direction parisienne a indiqué avoir demandé 7 emplois supplémentaires à la Direction Générale, mais n’a aucune assurance de ce qu’elle obtiendra. Quoiqu’il en soit ces emplois ne pourront apparaître qu’en 2015 dans le tableau des emplois, mais s’ils sont obtenus, ils seront offerts aux agents au mouvement local du 01/09/2014. Mais en attendant, comment fait le PRS ?
Si actuellement les dossiers arrivant du STDR sont encore en nombre restreint, comment le PRS arrivera-t-il à absorber cette charge lorsque le STDR sera à plein. Il est prévu en rythme normal environ 400 dossiers par mois. Actuellement le flux d’arrivée des demandes semble s’amoindrir mais la campagne de déclarations en mai et juin ne va-t-elle pas relancer le dépôt de déclarations de régularisation ? Bref, une visibilité complète du dispositif est impossible !!!
L’aménagement des locaux et les moyens en matériel ?
La Direction aurait étudié la situation au niveau espace et il serait possible d’installer 7 personnes de plus dans les locaux du PRS. Des cloisons pourraient être abattues et du mobilier plus petit pourrait remplacer l’actuel !
La CGT leur a demandé communication des plans. Rien n’est diffusable pour l’instant, selon la Direction, car elle est en attente de la décision de la DG qui fixera le nombre d’emplois attribués. Il a été rappelé qu’au 01/09, deux emplois seront transférés au PRS suite au transfert des procédures collectives des SIE.
La Direction a encore la solution: des bureaux plus petits. La CGT a fait remarqué qu’il faut aussi des armoires pour ranger tous ces dossiers supplémentaires. La Direction a annoncé que tous les dossiers venant du STDR vont être dématérialisés, il n’y aurait plus de dossiers papier. Pour accompagner cette dématérialisation, une système informatique de double écran sera installé pour les agents en charge de ces dossiers. La date de l’installation du matériel est prévue après avril. Double écran sur un bureau plus petit, reste à voir ce que ça va donner.
Face à ce flou, les organisations syndicales ont exigé une présentation précise en CHS-CT afin qu’un avis soit donné sur toutes ces modifications.
Les difficultés de recouvrement par le PRS de ces impositions et pénalités ?
La Direction est très confiante, les contribuables devraient au moment de la signature de la transaction, au STDR, s’acquitter de toutes les imposions et pénalités correspondantes. Dés lors, le recouvrement par le PRS ne devrait pas poser de problèmes sauf exception. La tâche du PRS devrait se limiter à rapprocher les 3950 établis par le STDR des sommes déposées sur le compte d’attente. La Direction répète, que ces contribuables sont en règle générale bien conseillés, et ne risqueront pas de rompre la transaction et de retomber dans une procédure sans allégement des pénalités.
Pourvu que la direction ne soit pas contredite par les faits et que les conseillers ne soient pas les mêmes qui jusqu’à présent n’incitaient pas ses clients à être en règle quant à la déclaration de leurs avoirs dans les paradis fiscaux.
Le contrôle des contribuables régularisant leur situation fiscale auprès de la DNVSF ?
Dans une instruction en date du 31/07/2013, la DG a prévu que le STDR ouvrira, dans l’application ALPAGE CSP, un dossier au nom de chaque contribuable effectuant une régularisation, ceci afin de les identifier facilement afin d’éviter tout risque de vice de procédure.
En effet, un contrôle sur les autres revenus ou autres biens d’un contribuable régularisant des avoirs à l’étranger reste possible par le service local mais après contact avec le STDR.
Il a été dénoncé par la CGT que cette information dans ALPAGE CSP est difficile d’accès par les services locaux: la majorité des collègues n’ayant pas d’habilitation pour Alpage CSP. Cela impliquerait donc qu’à chaque ouverture d’un CSP, l’agent en charge du dossier au niveau local demande à son responsable de consulter ALPAGE CSP. L’information des agents habilités pour ALPAGE CSP ne sera pas tellement plus simple; en effet, ceux-ci ont une habilitation ALPAGE pour un périmètre géographique déterminé et ne peuvent pas consulter des CSP ouverts en dehors de ce périmètre.
Dans le cadre du traitement des déclarations de régularisation, aucun dossier papier n’est demandé aux services locaux par le STDR, le contribuable devant fournir toutes les informations nécessaires. Pour la DRFiP, sans tenant à l’instruction de la DG, cela n’est pas un problème pour les agents parisiens à partir du moment où le STDR ouvre, dans l’application ALPAGE CSP, un dossier CSP au nom de chaque contribuable effectuant une régularisation.
Il apparaît surtout que la DRFiP ne connait que sommairement le fonctionnement de ces services et ne semble pas si intéresser plus que ça.
La CGT a réitéré sa demande d’améliorer l’information des services locaux.
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