- PCA-PRA
- Formation professionnelle
- Paiements chez les buralistes
- Budget
Après lecture des propos liminaires, actualité oblige, la CGT a évoqué d’autres sujets brûlants :
- la clôture de la campagne des entretiens professionnels au 14 juillet, ce qui obligera les agent.e.s à formuler leur éventuel recours durant les congés d’été,
- la mise à disposition de moyens pour les élu.e.s du personnel pour défendre les collègues durant la campagne mutation,
- les incidents intervenus le 24 juin à l’accueil du SIP Boucry (18ème),
- la demande de test pour les collègues du site Beuret (15ème) qui le souhaitent suite à la détection d’un cas COVID 19.
Comme à son habitude dans le « monde d’hier », le DRFiP a utilisé la seule réponse qu’il connaisse : « NON ».
- Non, je ne dirai rien sur le NRP (Nouveau Réseau de Proximité) ( le DG n’a pas tranché ).
- Non, je ne dirai rien sur la démétropolisation. ( je ne maîtrise pas le calendrier ).
- Non, je ne dirai rien sur la reprise de la campagne des entretiens professionnels ( je ne suis pas au courant ).
- Non, je ne dirai rien sur la tenue de réunions sur les mutations et la remise de documents ( le DG m’a dit de ne rien dire ).
- Non, je ne dirai rien sur l’accueil du SIP Boucry ( c’est la faute des non imposables ).
- Non, je ne dirai rien sur les test ( je ne suis pas médecin ).
- Non je ne vous donnerai pas les critères sur lesquels nous attribuerons la prime ( je les connais mais je ne peux pas vous les dire, j’attends la fumée blanche de la DG ).
La CGT est venue défendre les agent.e.s. Convoquer une réunion où la moindre de nos questions reçoit une fin de non recevoir et appeler cela « dialogue social » relève de l’hypocrisie. Le directeur se permet de contester le terme d’opacité alors qu’il ne veut livrer aucune information sur quoi que ce soit, qu’il refuse de prendre la moindre décision, qu’il se cache au gré du vent derrière le DG, les chef.fe.s de service.
Fort de ce constat, la CGT a quitté cet ersatz de discussion.