Suite au courrier que la CGT Finances Publiques a envoyé le mercredi 21 mars à la direction, la réponse est arrivée le 26 mars : » En raison des travaux bruyants qui seront réalisés demain sur le site de Boucry (conformément à ce qui a été annoncé dans la Gazette), Jean- Pierre PERY a décidé d’octroyer une journée d’autorisation d’absence à toutes les agents du site ».
voici une copie du courrier que la section a envoyé à la Direction:
Nous avons été informés que le site de Boucry, qui vous le savez fait l’objet de lourds travaux actuellement, allait voir intervenir la destruction de murs à l’aide de marteaux piqueurs le mardi 27 mars 2012. Ces travaux sont prévus sur la journée entière, et doivent donc se dérouler en zone occupée pendant les heures de travail des agents présents sur le site, et pendant les heures d’ouverture au public. Or, les agents subissent déjà de nombreux désagréments suite aux travaux liés à l’installation future du SIP (nuisances sonores, fermeture de cantine, poussières abondantes, etc.). Lors des réunions d’informations sur l’avancement des travaux, les agents ont interpellé la Division de l’Immobilier sur le niveau de ces nuisances, et signalé que leurs conditions de travail s’étaient fortement dégradées. (difficultés de concentration, conversations téléphoniques inaudibles, etc.). De plus, les conditions de réception du public sont déjà loin d’être satisfaisantes (accès par l’escalier sauf en cas de mobilité réduite, etc). Il ne serait pas normal d’accueillir les contribuables alors même que des marteaux piqueurs font leur office dans l’immeuble. Devant l’ampleur des désagréments qui seraient causés par cette lourde intervention prévue le 27 mars, nous vous demandons expressément de remédier à cette problématique en décidant de la fermeture des services pour cette date, afin que ni les contribuables ni les agents n’aient à subir cette situation. Pour cela, nous vous demandons l’octroi d’une autorisation d’absence exceptionnelle pour la journée pour l’ensemble des personnels travaillant sur le site de Boucry. Par ailleurs, il serait préférable que pour le cas présent, la situation soit traitée en amont, et non a posteriori comme ce fut le cas pour le site du Bd de Reims. |